Pourquoi je l'aime, il y a beaucoup de chose a dire. D'abord c'est purement "psychologique". Un livre que j'ai aimé avait comme couverture un cliché de Willy Ronis. Ensuite j'ai vu ce cliché ci a Nice, en grand format, et je l'ai trouvé sur le moment parfait (j'étais niaise).
Ensuite c'est une photo en noir et blanc, du siècle dernier. Symboliquement ça me plait.
Ensuite nous avons ce balcon qui domine avec sa forme "rigolote". L'homme est beau dans son "costume". Il y a le charisme justement de ces paroles qu'on ignore mais dont on comprend le caractère tout a fait aimant et "transperçant". La femme l'écoute attentivement. Ils sont sereins devant un Paris sans couleur. (Au passage, si la photo n'avait pas été en noir et blanc elle aurait sans doute été nulle. A moins que ce soit une lumière douçâtre de début de journée). Et cette ville en fond donc, presque uniforme. Une sorte de brouillard en fond et hop, de nulle part surgissent des sommets.
(Ne vous méprenez pas, si vous apparaissez dans cette liste cela ne signifie pas nécessairement que je considère que ce que vous racontez est intéressant. Ca reste de la curiosité malsaine.)
Blog de Mélanie, alias Butterflyz, ou d'autres choses encore.
Blog de Thomas (tiens vous voici réuni ici !) (blog effacé mais tant pis)
Blog de Hugo, soit disant futur diplomate, détenant une réthorique présente par audace mais a développer et améliorer.
Blog de Morgane (la copine de Hugo, détail inutile puisqu'il suffira de passer sur leurs blogs respectifs pour le comprendre.)
(Et merci genaisse haha!)
Blog d'un chomeur aigri(mais pas encore alcolique, drogué et tout le blabla...), bref, Servlet, H ou autres.
Blog d'un français exilé en suède. (Qui restera dans cette liste de lien uniquement de manière symbolique. Il faut bien que je passe par ce blog pour savoir s'il est toujours en vie.)
Ma page sur "deviantart", où j'expose quelques photos. Mais elles ne sont pas intéressantes, il ne s'agit que d'entrainement. Le plus intéressant restera alors la galerie de mes favoris.
Crumble abricot-amande
Préchauffez le four a thermostat 6 (180°)
Prenez six abricots. Coupez-les en deux oreillons, puis en petits cubes. Mettez les à chauffer dans une poêle suffisamment grande. Ajoutez trois cuillère à soupe d'eau, un sachet de sucre vanillé et faire cuire à feu doux jusqu'à obtenir une sorte de compote.
Pour la pâte, mélanger dans un saladier 200gr de farine, 100gr de poudre d'amande, 175 gr de beurre et 175 de sucre (cassonade de préférence). Mélangez le tout avec les doigts!
Déposez la compote d'abricot dans un grand plat (plat a la lasagne par exemple) ou dans des petits ramequins, recouvrez le tout de la pâte tout en l'effritant, puis rajouter quelques amandes effilés sur le dessus.
Déposez au four, pendant 20 à 40 minutes, selon le résultat que vous obtenez et la satisfaction que vous ressentez en voyant la pâte dorer.
Pourquoi cette photo est si célèbre ?
RépondreSupprimerEt que lui dit-il ? Et à quoi pense-t-elle à cet instant ?
Pourquoi elle est célèbre je n'en sais rien.
RépondreSupprimerPourquoi je l'aime, il y a beaucoup de chose a dire. D'abord c'est purement "psychologique". Un livre que j'ai aimé avait comme couverture un cliché de Willy Ronis. Ensuite j'ai vu ce cliché ci a Nice, en grand format, et je l'ai trouvé sur le moment parfait (j'étais niaise).
Ensuite c'est une photo en noir et blanc, du siècle dernier. Symboliquement ça me plait.
Ensuite nous avons ce balcon qui domine avec sa forme "rigolote".
L'homme est beau dans son "costume". Il y a le charisme justement de ces paroles qu'on ignore mais dont on comprend le caractère tout a fait aimant et "transperçant".
La femme l'écoute attentivement.
Ils sont sereins devant un Paris sans couleur. (Au passage, si la photo n'avait pas été en noir et blanc elle aurait sans doute été nulle. A moins que ce soit une lumière douçâtre de début de journée).
Et cette ville en fond donc, presque uniforme. Une sorte de brouillard en fond et hop, de nulle part surgissent des sommets.
Cette photo est fantastiquement symbolique.
(en fait, la photo est prise sur le balcon au sommet de la colonne de la Place de la Bastille.)
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